404: Job not found [PV Loopina]
Publié : 24 nov. 2013, 15:18
Il faisait noir…Les ténèbres envahissaient la pièce ou Cielhe était enfermée… Une pièce sombre sur un sol de pierre refermé par quatre murs alliant l’acier et la pierre. Au milieu de la salle était posé un siège en cuir au dossier déchiqueté et ensanglanté avec des menottes afin de lier les quatre sabots. La ponette restait assise dans un coin de la geôle humide tandis qu’elle entendait des chuchotements étranges, incompréhensibles… Et parfois entrecoupés de cris de douleur. Ces derniers faisaient encore plus se lover Cielhe dans le coin de la pièce, seulement…Le sol et les murs se mettaient à fondre ? Les blocs de pierre semblaient se liquéfier autour de Cielhe comme de l’acide, mais seul le siège semblait ne pas subir les aléas physiques de la geôle. Sans grand espoir de survie, elle se jette sur ce dernier, sachant pertinemment ce qui va arriver. Elle prend place sur le siège dont les menottes se ferment automatiquement. Cette action fit hurler Cielhe de terreur tandis que devant elle se dressait une immense ombre au regard fou et au sourire carnassier, se délectant de son cri dans de grands rires de folie. L’ombre se jette alors sur Cielhe en larmes, et*BIPBIP ! BIPBIP ! BIPBIP !*
Cielhe se réveilla alors en sursaut dans son lit, regardant autour d’elle de son œil valide. Elle lâcha un soupire de désespoir…Encore ce rêve… La crinière en bataille et le regard à moitié réveillé, elle leva majestueusement son sabot droit pour s'abattre sur le radioréveil et lancer la musique de ce dernier. Chantonna alors I feel good de Stallion Brown, qui la fit aussitôt se lever du lit.
Retrouvant alors son punch matinal, elle marchait en direction de la cuisine sur un pas rythmé et dandinant de la croupe jusqu’au frigo. Tout en rythme, elle sortit du frigidaire une bouteille de lait tout en faisant voltiger de l’armoire un bol et des céréales. Le tout se posa sur la table. Elle alla vers la table sur un pas de moonwalk tout en remuant la tête, comme si elle chantait avec son corps.
Le petit déjeuner avalé, elle alla vers sa salle de bain. Elle s’arrêta afin d’éxécuter un pas de danse, s’arrêtant puis reprenant sa marche. « SO GOOD ! pouet pouet ! SO GOOD ! pouet pouet ». Dans un moment de coquetterie, en plus de se coiffer et de brosser son poil azuré, mit un peu de parfum, souvenir que lui avait offert Oilina. Une fois prête et sur le pas de la porte, elle s’arrêta pour encore une fois, observer la lettre cachetée par son ancienne amante. Cette lettre qu’elle n’avait encore jamais ouverte, malgré la curiosité qui là rongeait chaque fois qu’elle franchissait le pas de la porte. Oh ! Un oubli matinal lui rappela qu’elle avait oublié de mettre son bandeau. Elle se dirigea d’un pas pressé vers sa salle de bain, dérapant « like a boss » sur le dallage jusque devant son armoire et alla choisir son classique bandeau noir.
Chaussée bottée casquée, elle prit au passage sa classique sacoche en cuir brun sur laquelle était incrusté en lettres métalliques similaire à de l’acier brossé les chiffres « 338 ». Elle y fourra quatre nouveaux carnets (en plus de son ancien, contenant ses paroles, notes de cuisine/cocktails et éventuels dessins) ainsi que deux portemines remplis, ainsi qu’un livre pour sa pose. Elle claque la porte en laissant son radio réveil allumé qui à présent chantait « Let’s go » de W. Chung Comme chaque matin, Cielhe allait à la recherche d’un travail qui pourrait lui plaire.
En effet, depuis son arrivée à Ponyville, elle était au chômage technique. Sans ses camarades et la maison close/bar/auberge de Flinch démantelée, elle n’avait que son pécule d’or actuel. Comme tôt ou tard elle allait se retrouver sans un sou en poche, autant commencer dès maintenant ! Malheureusement, trouver un travail était dur pour une ponette de son envergure. Ca ne fait pas toujours bien d’avoir travaillé dans un lieu de débauche, même si son unique travail était de fournir de la boisson, d’aider les autres à nettoyer et ranger les lits, et ensuite de faire la cuisine pour l’équipe, dans la joie et la bonne humeur. En revanche, tout ceux qui voulaient avoir un remplaçant, une éventuelle cuisinière et une serveuse à Ponyville n’étaient pas prêt à accepter une pseudo-catin dans leur entreprise. Néanmoins Cielhe ne faiblissait nullement. De toute manière, rien ne la retenait ici. « Plaie d’argent n’est pas mortelle », se disait-elle souvent.
Elle allait, de magasin en magasin, présentant à chaque commercial son petit carnet avec son simple texte :« Bonjour ! Je me nomme Cielhe. Je suis à la recherche d’un travail qui puisse mettre en avant mes compétences de vendeuse, et ou de serveuse ! »
Bien sur, l’inconvénient majeur de Cielhe, en plus de son CV discutable malgré ses compétences était son handicap vocal. Être muette et discuter des ventes n’est pas très agréable pour le client.
C’est très décevant pour Cielhe d’en arriver à cette conclusion : Elle trouvera sans doute difficilement un travail en ces lieux. Elle errait alors, plongée dans ses pensées tandis qu’elle se dirigeait vers la grand place.
Cielhe se réveilla alors en sursaut dans son lit, regardant autour d’elle de son œil valide. Elle lâcha un soupire de désespoir…Encore ce rêve… La crinière en bataille et le regard à moitié réveillé, elle leva majestueusement son sabot droit pour s'abattre sur le radioréveil et lancer la musique de ce dernier. Chantonna alors I feel good de Stallion Brown, qui la fit aussitôt se lever du lit.
Retrouvant alors son punch matinal, elle marchait en direction de la cuisine sur un pas rythmé et dandinant de la croupe jusqu’au frigo. Tout en rythme, elle sortit du frigidaire une bouteille de lait tout en faisant voltiger de l’armoire un bol et des céréales. Le tout se posa sur la table. Elle alla vers la table sur un pas de moonwalk tout en remuant la tête, comme si elle chantait avec son corps.
Le petit déjeuner avalé, elle alla vers sa salle de bain. Elle s’arrêta afin d’éxécuter un pas de danse, s’arrêtant puis reprenant sa marche. « SO GOOD ! pouet pouet ! SO GOOD ! pouet pouet ». Dans un moment de coquetterie, en plus de se coiffer et de brosser son poil azuré, mit un peu de parfum, souvenir que lui avait offert Oilina. Une fois prête et sur le pas de la porte, elle s’arrêta pour encore une fois, observer la lettre cachetée par son ancienne amante. Cette lettre qu’elle n’avait encore jamais ouverte, malgré la curiosité qui là rongeait chaque fois qu’elle franchissait le pas de la porte. Oh ! Un oubli matinal lui rappela qu’elle avait oublié de mettre son bandeau. Elle se dirigea d’un pas pressé vers sa salle de bain, dérapant « like a boss » sur le dallage jusque devant son armoire et alla choisir son classique bandeau noir.
Chaussée bottée casquée, elle prit au passage sa classique sacoche en cuir brun sur laquelle était incrusté en lettres métalliques similaire à de l’acier brossé les chiffres « 338 ». Elle y fourra quatre nouveaux carnets (en plus de son ancien, contenant ses paroles, notes de cuisine/cocktails et éventuels dessins) ainsi que deux portemines remplis, ainsi qu’un livre pour sa pose. Elle claque la porte en laissant son radio réveil allumé qui à présent chantait « Let’s go » de W. Chung Comme chaque matin, Cielhe allait à la recherche d’un travail qui pourrait lui plaire.
En effet, depuis son arrivée à Ponyville, elle était au chômage technique. Sans ses camarades et la maison close/bar/auberge de Flinch démantelée, elle n’avait que son pécule d’or actuel. Comme tôt ou tard elle allait se retrouver sans un sou en poche, autant commencer dès maintenant ! Malheureusement, trouver un travail était dur pour une ponette de son envergure. Ca ne fait pas toujours bien d’avoir travaillé dans un lieu de débauche, même si son unique travail était de fournir de la boisson, d’aider les autres à nettoyer et ranger les lits, et ensuite de faire la cuisine pour l’équipe, dans la joie et la bonne humeur. En revanche, tout ceux qui voulaient avoir un remplaçant, une éventuelle cuisinière et une serveuse à Ponyville n’étaient pas prêt à accepter une pseudo-catin dans leur entreprise. Néanmoins Cielhe ne faiblissait nullement. De toute manière, rien ne la retenait ici. « Plaie d’argent n’est pas mortelle », se disait-elle souvent.
Elle allait, de magasin en magasin, présentant à chaque commercial son petit carnet avec son simple texte :« Bonjour ! Je me nomme Cielhe. Je suis à la recherche d’un travail qui puisse mettre en avant mes compétences de vendeuse, et ou de serveuse ! »
Bien sur, l’inconvénient majeur de Cielhe, en plus de son CV discutable malgré ses compétences était son handicap vocal. Être muette et discuter des ventes n’est pas très agréable pour le client.
C’est très décevant pour Cielhe d’en arriver à cette conclusion : Elle trouvera sans doute difficilement un travail en ces lieux. Elle errait alors, plongée dans ses pensées tandis qu’elle se dirigeait vers la grand place.