Bonjour tout le monde !
Oh.... Purée de pomme de terre et poudre d'amande.... Depuis combien de temps, je n'ai pas poster sur ce site déjà.... Haaaaaa..... J'adore la Corse, mais pour ce qui est du réseau.... Merci.....
Bon sinon... Comment vous allez vous tous ? Moi ça va bien, je reprend la vie active la semaine prochaine avec l'auto-école (j'espère enfin avoir mon code fin septembre début Octobre... ) et je recommence à travailler début octobre... Sinon tout va bien...
Bon sinon, pourquoi je suis là ? Pour vous poster bien entendu la suite de ma fic "Prime Magical Stone : Matrice’s Lullaby" ! Je l'ai bien avancé, j'en suis à dix chapitre et je ne pense pas m'arrêter de si tôt ! Même si mon rythme risque d'être un peu chambouler avec la reprise de ma vie active, mais bon.... Je remercie encore et encore Acylius de m'avoir conseillé le site de fanfiction où je poste ma fic. Je le/la remercie aussi de corriger mes fautes d'orthographes.
Voici donc le lien de ma fic :https://www.bibliotheque-de-canterlot.f ... llimlp1795
J'espère voir plein de vos commentaire sous mes chapitres.
Gros bisous à vous tous et bonne rentrée à vous tous !
[en cours][crossover][long] Prime Magical Stone Matrice’s Lullaby
- DelliMLP1795
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Re: [en cours][crossover][long] Prime Magical Stone Matrice’s Lullaby
Bon retour sur le forum!DelliMLP1795 a écrit : ↑13 sept. 2020, 15:48 Bonjour tout le monde !
Oh.... Purée de pomme de terre et poudre d'amande.... Depuis combien de temps, je n'ai pas poster sur ce site déjà.... Haaaaaa..... J'adore la Corse, mais pour ce qui est du réseau.... Merci.....
Bon sinon... Comment vous allez vous tous ? Moi ça va bien, je reprend la vie active la semaine prochaine avec l'auto-école (j'espère enfin avoir mon code fin septembre début Octobre... ) et je recommence à travailler début octobre... Sinon tout va bien...
Bon sinon, pourquoi je suis là ? Pour vous poster bien entendu la suite de ma fic "Prime Magical Stone : Matrice’s Lullaby" ! Je l'ai bien avancé, j'en suis à dix chapitre et je ne pense pas m'arrêter de si tôt ! Même si mon rythme risque d'être un peu chambouler avec la reprise de ma vie active, mais bon.... Je remercie encore et encore Acylius de m'avoir conseillé le site de fanfiction où je poste ma fic. Je le/la remercie aussi de corriger mes fautes d'orthographes.
Voici donc le lien de ma fic :https://www.bibliotheque-de-canterlot.f ... llimlp1795
J'espère voir plein de vos commentaire sous mes chapitres.
Gros bisous à vous tous et bonne rentrée à vous tous !
Alors, dix chapitres!?! Je vais être réaliste,il me faudra pas mal de temps pour tout lire.
Je ne sais pas encore si je vais écrire un seul commentaire
pour l'ensemble des chapitres ou un commentaire pour chaque!
À suivre!
- Seyn
- Brony connaisseur
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Re: [en cours][crossover][long] Prime Magical Stone Matrice’s Lullaby
Hello Delli', consœur terrestre.
Je jetterai un œil également. Pour tout dire, j'ai commencé à lire jusqu'à la moitié du prologue à peu près ; celui-ci étant déjà bien conséquent, je suis de l'avis de Ronny de décomposer les commentaires selon les chapitres.
J'ai également pu constater que le crossover se découpait au travers de deux autres séries que je ne connais pas du tout (uniquement les Transformers de nom), mais on essaiera tout de même.
Edit : bon, au final, j'ai regardé le générique de Gargoyles et il s'avère que je connais aussi, ça m'était juste complètement sorti de la tête.
Je jetterai un œil également. Pour tout dire, j'ai commencé à lire jusqu'à la moitié du prologue à peu près ; celui-ci étant déjà bien conséquent, je suis de l'avis de Ronny de décomposer les commentaires selon les chapitres.
J'ai également pu constater que le crossover se découpait au travers de deux autres séries que je ne connais pas du tout (uniquement les Transformers de nom), mais on essaiera tout de même.
Edit : bon, au final, j'ai regardé le générique de Gargoyles et il s'avère que je connais aussi, ça m'était juste complètement sorti de la tête.
"I didn't learn anything, hah ! I was right all along !"
- Seyn
- Brony connaisseur
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- Localisation : Sweet Apple Acres
Re: [en cours][crossover][long] Prime Magical Stone Matrice’s Lullaby
Bien bien ! Je pense qu’il est temps de déposer mon bilan sur ton prologue, et j’ai à dire !
J’ai un peu hésité sur la manière de détailler mon sentiment. Fallait-il mieux procéder par étapes / paragraphe et commenter en fonction ? Ou y aller d’un bloc après coup ? Je pense finalement m’aider de la première option en m’appuyant sur des citations de ton texte. C’était une expérience particulière de te lire, car le récit fait intervenir des univers qui, s’ils me parlent, me restent relativement inconnus (Transformers tout particulièrement, même si le peu de culture que j’en tire me permet de dire que la fin concerne en partie cette série), mais également pour diverses raisons détaillées ci-dessous.
Attention, aucune remarque ne se veut agressive ou insultante, je suis un amateur mais j'ai essayé de retranscrire fidèlement mon ressenti et distille çà et là différentes suggestions que je jugerais bénéfiques pour ton récit.
En rouge apparaitra ce qui, selon moi, constitue le terrible point noir : les répétitions.
Le vert, c'est pour les tournures de phrases qui ont stoppé ma lecture avec, en bonus, mes suggestions personnelles.
---
« Les braseros illuminaient l’entrée de la grotte. Leur étrange couleur bleutée donnait à la roche une apparence glacée, la transformant ainsi en verre soufflé et poli face au regard de ceux qui l’observaient.
Regardant intensément la flamme étrange, la licorne attendait patiemment les deux invités qu’elle avait conviés à cette réunion. Cette flamme… c’était étrange… Sa lumière, sa magie… Tous ces détails lui rappelaient son pays d’origine… Cela lui rappelait son père, son dirigeant, les autres enfants… Le visage d’un roi qu’il avait longtemps servi et conseillé autrefois apparut soudainement au travers des braises… Le sorcier secoua la tête, cherchant à faire partir ce souvenir. Il avait oublié que cette magie pouvait lire dans l’esprit de toute créature qui la contemplait, faisant ainsi apparaître au milieu de ses cendres la source de toute pensée. »
Ceci m’a interpelé dès les premières lignes, difficile de faire abstraction, je crains, quand on retrouve le même mot à si peu d’intervalle. On peut par exemple supprimer le premier, ce qui n’enlève rien à la couleur des flammes. Et pourquoi pas remplacer le second par quelque chose comme « vive », car il me semble compliqué de retirer le dernier, si tu souhaites conserver cette forme.
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« Illuminant sa corne d’un rayon blanc, la licorne saisit deux de ces cendres, les observant. L’une ressemblait à un étrange et minuscule morceau de cristal. La lumière bleutée du feu la faisait briller d’un délicat rose, on aurait presque dit que cette couleur irradiait du morceau de cristal lui-même. La deuxième était simplement un morceau de pierre. Très fin et courbé, on voyait que le verso était ‘’peint’’ d’étranges lignes. En regardant attentivement, la licorne aurait presque confondu les fins traits avec des dessins rappelant des veines et des vaisseaux sanguins. Un peu comme ceux dessinés dans les manuels de science. En regardant attentivement et en utilisant un peu son imagination, la licorne aurait pu confondre cette fine pierre avec un morceau de peau fossilisée dans de la roche. »
« deux de ces cendres » : ça me bloque. A mon sens, les cendres ne sont pas des objets que l’on peut décomposer et « individualiser » tels des roches ou grains de sables par exemple. J’opterais plutôt pour une tournure du genre : « la licorne en saisit deux poignées, dures au toucher » (ça laisse entendre qu’elles sont davantage que de simples amas de cendres et ça évite la répétition avec le « cendres » dans la phrase d’avant). Et on pourrait rattacher au restant de la phrase avec un « Les observant après les avoir débarrassées de leur couche poudreuse / grisâtre… »
---
« La licorne laissa tomber les deux cendres de surprise. Les sons de la nature qui l’entouraient venaient de s’arrêter. À présent, elle était entourée par le silence. Des sons lui parvinrent aux oreilles. Ceux-ci n’étaient pas naturels du fait que ce n’était pas la forêt qui les produisait. La licorne quitta le braséro des yeux, se tournant vers l’orée de la forêt qui entourait l’entrée de la formation rocheuse. Bien que dans la région où il se trouvait, près de l’Empire de Cristal, les Branche-loups n’étaient pas courants, ils restaient une source de danger à prendre en compte dans ce genre d’environnement. Surtout si on ajoutait à cela la migration annuelle. En effet, une fois la saison des amours commencée, les étranges canidés migraient vers le Nord et les terres enneigées qui étaient propices aux rites de reproduction et à la naissance des nouvelles portées. Le fait d’entendre ces sons, d’étranges gémissements pour être plus exact, stressait la licorne. »
« les deux cendres » : Maintenant qu’on sait que les cendres n’en sont pas réellement, on peut réellement remplacer par « roches / pierres / autre ».
« La licorne » : Connaissant, grâce à la suite du texte, le sexe du protagoniste, on peut sans doute occulter certains « la licorne » par « il » et compagnie.
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« Celui-ci soupira de soulagement quand il vit enfin ce qui avait causé tout ce bruit. Deux alicornes sortirent des fourrés. Reconnaissant ses deux anciennes élèves, la licorne interrompit son sort, éteignant le rayon blanc qui entourait sa corne. »
On nous dit plus haut que « Illuminant sa corne d’un rayon blanc, la licorne saisit deux de ces cendres », puis « La licorne laissa tomber les deux cendres de surprise. ». On peut donc en déduire que le rayon est affilié à un quelconque sortilège dont s’est servit le personnage pour observer les roches. Il me parait logique de penser qu’au moment d’être surpris par le silence environnant, le rayon s’éteint car « laissant tomber… »
---
« " Vous m’avez surpris", murmura la licorne pour lui-même. "Moi qui attendais de vous voir surgir d’une autre manière qu’à sabots. Surtout dans ton état mon enfant."
"Oh, vous savez… Je ne suis pas malade ou dans un état d’incapacité quelconque. Je peux parfaitement me servir de mes ailes ou de mes sabots. Et cela serait bien qu’une certaine jument de ma connaissance arrive à retenir ceci. Du moins, avant que je lui enfonce moi-même cette information à grand coup de sabot." »
« "Que ce soit pour voler et marcher trop longtemps. Tu n’as pas besoin de me le répéter à longueur de journée !"
"Luna… si je te le répète à longueur de journée c’est justement parce que je sais que dès j’aurais le dos tourné, tu profiteras de faire ce qu’il t’a interdit. Et je répète que l’on aurait pu utiliser un sort de téléportation pour venir ici." »
M'est avis qu'on peut carrément supprimer le deuxième.
---
« L’alicorne blanche poussa un hennissement d’agacement. Franchement… quand sa sœur s’y mettait… Célestia savait que Luna n’appréciait pas les conditions restrictives que le médecin lui avait prescrites pour leur santé à elles deux. La plus âgée comprenait que sa sœur fasse de petits écarts. Mais était-ce une raison pour briser toutes les conditions que le corps médical avait établi pour leur sécurité ?
La jument blanche allait répliquer à la remarque de sa jeune sœur quand elle fut arrêtée dans son élan. Le plus âgé du trio avait raclé sa gorge, amenant ainsi le calme dans la petite dispute que les deux alicornes s’échangeaient. Les deux sœurs déglutirent pour elles-mêmes, se souvenant de ce son. Cet avertissement sans mot et presque inaudible dont leur ancien professeur se servait lorsqu’elles perturbaient ses leçons. Retrouvant ainsi leur calme, les deux juments regardèrent la licorne pendant que celle-ci retirait son chapeau de sorcier du haut de sa tête. »
De biens nombreux termes pour désigner une seule et même entité à moult reprises. Je pense qu’il serait agréable pour la lecture d’épurer un peu cette variété par de plus simples « elle », voire même « il était compréhensible que sa sœur fasse de petits écarts ». Je me sens personnellement un petit peu écrasé par ce rappel constant de qui parle / pense. C’est un peu comme lors d’un échange entre deux personnages :
« Salut. » dit personnage 1
« Coucou. » dit personnage 2
« Comment vas-tu ? »
...
Et tant que l’échange dure, il n’est plus nécessaire de rappeler à chaque réplique qui s’exprime, ou, du moins, en espaçant bien plus, lorsque l’un des deux change d’expression faciale par exemple, ou bien lorsqu’intervient un troisième protagoniste.
---
« La licorne le regarda alors intensément. Illuminant doucement sa corne d’une délicate lumière blanche, il retira alors petit à petit les grelots qui y étaient accrochés. Une fois le dernier objet sphérique enlevé, une lumière envahit le corps du sorcier, elle le recouvrait totalement. La lumière était tellement éblouissante qu’elle aveugla les deux sœurs. »
Dans le même style, il est bien spécifié que les objets ôtés du chapeau sont des grelots. Je pense inutile de repréciser, dès la phrase suivante, que les grelots sont bien des objets sphériques, ce dont l’immense majorité se doute. Un simple « une fois le dernier enlevé » fait, selon moi, très bien le travail et allège la lecture.
---
« Quand la lumière finit par s’éteindre, les deux alicornes ouvrirent à nouveau leurs yeux. Qu’elle ne fut pas la surprise des deux sœurs quand elles virent qu’à la place de la vieille licorne qu’elles connaissaient si bien, se trouvait maintenant un vieux sorcier humain et barbu. La seule chose un tant soit peu équidée, qui rappelait que ce vieux sorcier était leur vieil ami, était sa corne au milieu du front. Une corne que le vieux sorcier saisit d’ailleurs dans sa main, il la tirait avec force et vigueur. Les deux sœurs durent retenir leurs haut-le-cœur quand elles virent le vieil humain casser sa corne jusqu’au sang pour finalement sortir un énorme sceptre en bois de son front. Laissant derrière un trou béant trôner au milieu de son front. Un trou qui se cicatrisa rapidement dans un éclat de lumière. »
Je remplacerais le « la surprise des deux sœurs » par « leur surprise », épurerais les « vieux » un peu trop nombreux et opterais pour un « la tirant » à la place de « il la tirait », pour harmoniser la phrase.
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« Le vieil homme fit taire l'aînée en levant sa main. L’alicorne blanche baissa sa tête, cachant le haut de son visage dans sa frange. La noire quand à elle regardait le vieux sorcier à la fois surprise et en même temps… Elle connaissait le secret qui se cachait derrière le visage barbu de son ancien professeur. Néanmoins, la cadette ne pouvait pas cacher son étonnement vu que c’était la première fois qu’elle le voyait réellement tel qu’il était, contrairement à sa sœur ainée.
"Oui, c’est vrai. Excusez-moi… Merlin", soupira l’alicorne du jour.
En effet… à présent, Starswirl avait repris son apparence originaire. Supprimant le sortilège qui le maintenait tel qu’il était en retirant les grelots de son chapeau de sorcier, le vieil homme ne pourrait dorénavant plus redevenir la vieille licorne qu’il était. Starswirl était…. Mort. Ne restait plus que Merlin. Un vieil homme habillé d’une tunique bleu azur cousue de dessins argentés posée par-dessus une robe de mage blanc cassé se dressait devant les deux sœurs. Mais, bien que le vieil homme vînt d'abandonner son apparence de licorne, l’ancien professeur possédait toujours ce visage ridé, chauve, barbu et sévère qui cachait toujours autant de douceur et de sagesse. Ce que malheureusement la cadette n’arrivait pas à entrevoir.
Luna, voulant essayer de retrouver ce qui faisait de ce vieil homme l’ancien précepteur qu’elle avait toujours connu, saisit le chapeau avec sa magie. Alors que la cadette s’approchait de son ancien professeur, l'aînée l’arrêta en se dressant entre elle et le vieil homme. L’alicorne noire regarda la blanche. Elle n’avait jamais vu un tel regard sur son visage. Un regard qui réunissait des tas de sentiments négatifs tels que la haine, la colère et la peur. Même quand elle l’avait emprisonnée sur la lune, il y a des milliers d’années, Luna n’avait pas vu un tel regard sur le visage de Célestia. Elle ne put cacher sa frayeur et sa surprise quand l’ainée se mit à hurler sur le vieil homme. »
Encore une fois, malheureusement, je me sens un peu assailli par ce rappel permanant de qui est qui. Pour les princesses par exemple, j’ai du voir deux voir leur nom contre beaucoup trop de « Alicorne » ou « Sœur ». Je suis persuadé qu’il y a matière à équilibrer un peu le texte en jouant davantage sur la simplicité. Il nous est bien trop souvent rappelé qui fait quoi alors que seuls trois personnages sont intervenus depuis le départ. De même pour Star Swirl / Merlin, cette vieille licorne / ce vieil homme.
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« … quand l’ainée se mit à hurler sur le vieil homme.
"Pas maintenant !" hurla l’Alicorne blanche. »
Ici par exemple, tu nous précises qui hausse le ton contre Star, inutile de le rappeler quand ce "qui" se met à parler.
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"Pas maintenant !" hurla l’Alicorne blanche. […] "Non, c’est impossible… Cela ne peut pas être." »
Je n’ai pas grand-chose à relever de la phase de dialogue, si ce n’est les traditionnels « Alicorne blanche / noire », « vieil homme ». J’ai aussi tiqué sur le « d’une main douce / d’un sabot doux » lorsque Merlin et Luna réconfortent Célestia, ainsi qu’une utilisation peut-être un peu régulière de « hurla ».
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« Célestia galopa à l’intérieur de la grotte, éclairant l’obscurité grâce à la lumière de sa corne. Suivant l’exemple de l’alicorne blanche, la noire s’élança à son tour, poursuivie par le vieil homme qui illuminait la route grâce à une boule de magie produite par son sceptre en bois. Luna et le sorcier se perdirent quelques secondes dans les galeries de roche en essayant de suivre l'écho du bruit des sabots de l’alicorne. Celle-ci avait complètement disparu, comme si l’obscurité de la grotte l’avait dévorée vivante.
Tentant de retrouver sa sœur, Luna avait décidé de s'arrêter à un croisement, écoutant attentivement et essayant de trouver le couloir que son aînée avait emprunté malgré l’écho ambiant qui faisait bourdonner ses oreilles. Finalement, l’alicorne et le vieux sorcier recommencèrent leurs recherches, en marchant cette fois. Luna était étonnée de voir à quel point cette grotte était immense et profonde. Elle n'en n’avait pas l’air vue de l’extérieur. Curieusement, l’alicorne noire avait tout simplement fini par suivre le vieil homme, se laissant tout simplement guider. Lui, au moins, semblait connaître le chemin que sa sœur avait emprunté. C’est ainsi, après au moins une bonne dizaine de minutes de marche à travers les galeries de la grotte, dans un silence le plus total, que les deux voyageurs arrivèrent dans une espèce de salle d’où s’échappait une étrange lumière rosée. »
En dehors des termes habituels, je trouve le mot « voyageurs » trop fort pour qualifier deux personnages marchant dans l’obscurité d’une grotte depuis quelques minutes. « Le maître et l’élève » ?
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« Bien que méfiante, Luna décida de suivre encore un peu le vieil homme qui la guidait à l’intérieur de la salle. L’alicorne noire ne s’attendait pas à assister à un spectacle aussi magnifique. Elle leva la tête vers le plafond de la grotte. Celui-ci possédait une grande ouverture en forme de carré. La coupe était claire et régulière, à un point tel que l’on aurait pu supposer qu’elle avait été faite par un être vivant doté d’intelligence. L’alicorne noire était émerveillée par un tel spectacle, se demandant comment le plafond rocheux de la grotte pouvait encore tenir et ne pas s’écrouler avec une ouverture aussi gigantesque. De là où elle était, Luna pouvait voir le ciel étoilé et la lune qui trônait en son centre, irradiant de ses magnifiques rayons d’un délicat et reposant blanc laiteux. »
Je dirais, au choix « Ses rayons irradiant d’un délicat… » ou « irradiant un délicat… de ses rayons. »
Pour la suite du texte, je retrouve un peu trop de fois le terme « l’humanoïde » pour désigner ceux qui agissent dans et autour du cube.
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« Luna se recula de surprise, le bâtonnet venait de s’agrandir, mesurant presque la moitié de la taille de la femme qui la tenait. »
Luna recula de surprise + qui le tenait. C’est le bâton qui est tenu par la femme.
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« …c’était un trident composé d’un bâton argenté qui se terminait avec des lames torsadées d’un bleu très clair d’où rayonnait une douce lumière. Sans doute étaient-elles fabriquées dans un autre métal ou un autre matériau. »
Un autre matériau que quoi ? Que ce qui est connu que Equestria ? Ou peut-être simplement que celui dont est fait le corps de la femme, j'avais oublié que tu le précisais un peu avant.
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« …de lui couper les cordes vocales, la privant du don de la parole. »
Là encore, il est inutile de préciser que si le choc lui a « coupé la voix », elle ne peut plus parler.
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« Celle qui va redonner et recréer la vie à notre monde en perdition. »
Je dirais, au choix « Celle qui va recréer et redonner la vie à notre monde… » ou « Celle qui va recréer notre monde et lui redonner la vie. »
Et je crois que j’en ai terminé. Malgré ce que j’ai pu souligner, j’avoue être intéressé. On se demande tout d’abord dans quel but Star Swirl a bien pu convoquer les Sœurs loin de tout, puis à terme, ce que va bien pouvoir engendrer cette intrigue. Il semblerait, en tout cas, que Twilight soit encore, malgré elle, projetée au devant des problèmes. Je m’attèlerai à la suite, pour sûr.
J’ai un peu hésité sur la manière de détailler mon sentiment. Fallait-il mieux procéder par étapes / paragraphe et commenter en fonction ? Ou y aller d’un bloc après coup ? Je pense finalement m’aider de la première option en m’appuyant sur des citations de ton texte. C’était une expérience particulière de te lire, car le récit fait intervenir des univers qui, s’ils me parlent, me restent relativement inconnus (Transformers tout particulièrement, même si le peu de culture que j’en tire me permet de dire que la fin concerne en partie cette série), mais également pour diverses raisons détaillées ci-dessous.
Attention, aucune remarque ne se veut agressive ou insultante, je suis un amateur mais j'ai essayé de retranscrire fidèlement mon ressenti et distille çà et là différentes suggestions que je jugerais bénéfiques pour ton récit.
En rouge apparaitra ce qui, selon moi, constitue le terrible point noir : les répétitions.
Le vert, c'est pour les tournures de phrases qui ont stoppé ma lecture avec, en bonus, mes suggestions personnelles.
« Les braseros illuminaient l’entrée de la grotte. Leur étrange couleur bleutée donnait à la roche une apparence glacée, la transformant ainsi en verre soufflé et poli face au regard de ceux qui l’observaient.
Regardant intensément la flamme étrange, la licorne attendait patiemment les deux invités qu’elle avait conviés à cette réunion. Cette flamme… c’était étrange… Sa lumière, sa magie… Tous ces détails lui rappelaient son pays d’origine… Cela lui rappelait son père, son dirigeant, les autres enfants… Le visage d’un roi qu’il avait longtemps servi et conseillé autrefois apparut soudainement au travers des braises… Le sorcier secoua la tête, cherchant à faire partir ce souvenir. Il avait oublié que cette magie pouvait lire dans l’esprit de toute créature qui la contemplait, faisant ainsi apparaître au milieu de ses cendres la source de toute pensée. »
Ceci m’a interpelé dès les premières lignes, difficile de faire abstraction, je crains, quand on retrouve le même mot à si peu d’intervalle. On peut par exemple supprimer le premier, ce qui n’enlève rien à la couleur des flammes. Et pourquoi pas remplacer le second par quelque chose comme « vive », car il me semble compliqué de retirer le dernier, si tu souhaites conserver cette forme.
« Illuminant sa corne d’un rayon blanc, la licorne saisit deux de ces cendres, les observant. L’une ressemblait à un étrange et minuscule morceau de cristal. La lumière bleutée du feu la faisait briller d’un délicat rose, on aurait presque dit que cette couleur irradiait du morceau de cristal lui-même. La deuxième était simplement un morceau de pierre. Très fin et courbé, on voyait que le verso était ‘’peint’’ d’étranges lignes. En regardant attentivement, la licorne aurait presque confondu les fins traits avec des dessins rappelant des veines et des vaisseaux sanguins. Un peu comme ceux dessinés dans les manuels de science. En regardant attentivement et en utilisant un peu son imagination, la licorne aurait pu confondre cette fine pierre avec un morceau de peau fossilisée dans de la roche. »
« deux de ces cendres » : ça me bloque. A mon sens, les cendres ne sont pas des objets que l’on peut décomposer et « individualiser » tels des roches ou grains de sables par exemple. J’opterais plutôt pour une tournure du genre : « la licorne en saisit deux poignées, dures au toucher » (ça laisse entendre qu’elles sont davantage que de simples amas de cendres et ça évite la répétition avec le « cendres » dans la phrase d’avant). Et on pourrait rattacher au restant de la phrase avec un « Les observant après les avoir débarrassées de leur couche poudreuse / grisâtre… »
« La licorne laissa tomber les deux cendres de surprise. Les sons de la nature qui l’entouraient venaient de s’arrêter. À présent, elle était entourée par le silence. Des sons lui parvinrent aux oreilles. Ceux-ci n’étaient pas naturels du fait que ce n’était pas la forêt qui les produisait. La licorne quitta le braséro des yeux, se tournant vers l’orée de la forêt qui entourait l’entrée de la formation rocheuse. Bien que dans la région où il se trouvait, près de l’Empire de Cristal, les Branche-loups n’étaient pas courants, ils restaient une source de danger à prendre en compte dans ce genre d’environnement. Surtout si on ajoutait à cela la migration annuelle. En effet, une fois la saison des amours commencée, les étranges canidés migraient vers le Nord et les terres enneigées qui étaient propices aux rites de reproduction et à la naissance des nouvelles portées. Le fait d’entendre ces sons, d’étranges gémissements pour être plus exact, stressait la licorne. »
« les deux cendres » : Maintenant qu’on sait que les cendres n’en sont pas réellement, on peut réellement remplacer par « roches / pierres / autre ».
« La licorne » : Connaissant, grâce à la suite du texte, le sexe du protagoniste, on peut sans doute occulter certains « la licorne » par « il » et compagnie.
« Celui-ci soupira de soulagement quand il vit enfin ce qui avait causé tout ce bruit. Deux alicornes sortirent des fourrés. Reconnaissant ses deux anciennes élèves, la licorne interrompit son sort, éteignant le rayon blanc qui entourait sa corne. »
On nous dit plus haut que « Illuminant sa corne d’un rayon blanc, la licorne saisit deux de ces cendres », puis « La licorne laissa tomber les deux cendres de surprise. ». On peut donc en déduire que le rayon est affilié à un quelconque sortilège dont s’est servit le personnage pour observer les roches. Il me parait logique de penser qu’au moment d’être surpris par le silence environnant, le rayon s’éteint car « laissant tomber… »
« " Vous m’avez surpris", murmura la licorne pour lui-même. "Moi qui attendais de vous voir surgir d’une autre manière qu’à sabots. Surtout dans ton état mon enfant."
"Oh, vous savez… Je ne suis pas malade ou dans un état d’incapacité quelconque. Je peux parfaitement me servir de mes ailes ou de mes sabots. Et cela serait bien qu’une certaine jument de ma connaissance arrive à retenir ceci. Du moins, avant que je lui enfonce moi-même cette information à grand coup de sabot." »
« "Que ce soit pour voler et marcher trop longtemps. Tu n’as pas besoin de me le répéter à longueur de journée !"
"Luna… si je te le répète à longueur de journée c’est justement parce que je sais que dès j’aurais le dos tourné, tu profiteras de faire ce qu’il t’a interdit. Et je répète que l’on aurait pu utiliser un sort de téléportation pour venir ici." »
M'est avis qu'on peut carrément supprimer le deuxième.
« L’alicorne blanche poussa un hennissement d’agacement. Franchement… quand sa sœur s’y mettait… Célestia savait que Luna n’appréciait pas les conditions restrictives que le médecin lui avait prescrites pour leur santé à elles deux. La plus âgée comprenait que sa sœur fasse de petits écarts. Mais était-ce une raison pour briser toutes les conditions que le corps médical avait établi pour leur sécurité ?
La jument blanche allait répliquer à la remarque de sa jeune sœur quand elle fut arrêtée dans son élan. Le plus âgé du trio avait raclé sa gorge, amenant ainsi le calme dans la petite dispute que les deux alicornes s’échangeaient. Les deux sœurs déglutirent pour elles-mêmes, se souvenant de ce son. Cet avertissement sans mot et presque inaudible dont leur ancien professeur se servait lorsqu’elles perturbaient ses leçons. Retrouvant ainsi leur calme, les deux juments regardèrent la licorne pendant que celle-ci retirait son chapeau de sorcier du haut de sa tête. »
De biens nombreux termes pour désigner une seule et même entité à moult reprises. Je pense qu’il serait agréable pour la lecture d’épurer un peu cette variété par de plus simples « elle », voire même « il était compréhensible que sa sœur fasse de petits écarts ». Je me sens personnellement un petit peu écrasé par ce rappel constant de qui parle / pense. C’est un peu comme lors d’un échange entre deux personnages :
« Salut. » dit personnage 1
« Coucou. » dit personnage 2
« Comment vas-tu ? »
...
Et tant que l’échange dure, il n’est plus nécessaire de rappeler à chaque réplique qui s’exprime, ou, du moins, en espaçant bien plus, lorsque l’un des deux change d’expression faciale par exemple, ou bien lorsqu’intervient un troisième protagoniste.
« La licorne le regarda alors intensément. Illuminant doucement sa corne d’une délicate lumière blanche, il retira alors petit à petit les grelots qui y étaient accrochés. Une fois le dernier objet sphérique enlevé, une lumière envahit le corps du sorcier, elle le recouvrait totalement. La lumière était tellement éblouissante qu’elle aveugla les deux sœurs. »
Dans le même style, il est bien spécifié que les objets ôtés du chapeau sont des grelots. Je pense inutile de repréciser, dès la phrase suivante, que les grelots sont bien des objets sphériques, ce dont l’immense majorité se doute. Un simple « une fois le dernier enlevé » fait, selon moi, très bien le travail et allège la lecture.
« Quand la lumière finit par s’éteindre, les deux alicornes ouvrirent à nouveau leurs yeux. Qu’elle ne fut pas la surprise des deux sœurs quand elles virent qu’à la place de la vieille licorne qu’elles connaissaient si bien, se trouvait maintenant un vieux sorcier humain et barbu. La seule chose un tant soit peu équidée, qui rappelait que ce vieux sorcier était leur vieil ami, était sa corne au milieu du front. Une corne que le vieux sorcier saisit d’ailleurs dans sa main, il la tirait avec force et vigueur. Les deux sœurs durent retenir leurs haut-le-cœur quand elles virent le vieil humain casser sa corne jusqu’au sang pour finalement sortir un énorme sceptre en bois de son front. Laissant derrière un trou béant trôner au milieu de son front. Un trou qui se cicatrisa rapidement dans un éclat de lumière. »
Je remplacerais le « la surprise des deux sœurs » par « leur surprise », épurerais les « vieux » un peu trop nombreux et opterais pour un « la tirant » à la place de « il la tirait », pour harmoniser la phrase.
« Le vieil homme fit taire l'aînée en levant sa main. L’alicorne blanche baissa sa tête, cachant le haut de son visage dans sa frange. La noire quand à elle regardait le vieux sorcier à la fois surprise et en même temps… Elle connaissait le secret qui se cachait derrière le visage barbu de son ancien professeur. Néanmoins, la cadette ne pouvait pas cacher son étonnement vu que c’était la première fois qu’elle le voyait réellement tel qu’il était, contrairement à sa sœur ainée.
"Oui, c’est vrai. Excusez-moi… Merlin", soupira l’alicorne du jour.
En effet… à présent, Starswirl avait repris son apparence originaire. Supprimant le sortilège qui le maintenait tel qu’il était en retirant les grelots de son chapeau de sorcier, le vieil homme ne pourrait dorénavant plus redevenir la vieille licorne qu’il était. Starswirl était…. Mort. Ne restait plus que Merlin. Un vieil homme habillé d’une tunique bleu azur cousue de dessins argentés posée par-dessus une robe de mage blanc cassé se dressait devant les deux sœurs. Mais, bien que le vieil homme vînt d'abandonner son apparence de licorne, l’ancien professeur possédait toujours ce visage ridé, chauve, barbu et sévère qui cachait toujours autant de douceur et de sagesse. Ce que malheureusement la cadette n’arrivait pas à entrevoir.
Luna, voulant essayer de retrouver ce qui faisait de ce vieil homme l’ancien précepteur qu’elle avait toujours connu, saisit le chapeau avec sa magie. Alors que la cadette s’approchait de son ancien professeur, l'aînée l’arrêta en se dressant entre elle et le vieil homme. L’alicorne noire regarda la blanche. Elle n’avait jamais vu un tel regard sur son visage. Un regard qui réunissait des tas de sentiments négatifs tels que la haine, la colère et la peur. Même quand elle l’avait emprisonnée sur la lune, il y a des milliers d’années, Luna n’avait pas vu un tel regard sur le visage de Célestia. Elle ne put cacher sa frayeur et sa surprise quand l’ainée se mit à hurler sur le vieil homme. »
Encore une fois, malheureusement, je me sens un peu assailli par ce rappel permanant de qui est qui. Pour les princesses par exemple, j’ai du voir deux voir leur nom contre beaucoup trop de « Alicorne » ou « Sœur ». Je suis persuadé qu’il y a matière à équilibrer un peu le texte en jouant davantage sur la simplicité. Il nous est bien trop souvent rappelé qui fait quoi alors que seuls trois personnages sont intervenus depuis le départ. De même pour Star Swirl / Merlin, cette vieille licorne / ce vieil homme.
« … quand l’ainée se mit à hurler sur le vieil homme.
"Pas maintenant !" hurla l’Alicorne blanche. »
Ici par exemple, tu nous précises qui hausse le ton contre Star, inutile de le rappeler quand ce "qui" se met à parler.
"Pas maintenant !" hurla l’Alicorne blanche. […] "Non, c’est impossible… Cela ne peut pas être." »
Je n’ai pas grand-chose à relever de la phase de dialogue, si ce n’est les traditionnels « Alicorne blanche / noire », « vieil homme ». J’ai aussi tiqué sur le « d’une main douce / d’un sabot doux » lorsque Merlin et Luna réconfortent Célestia, ainsi qu’une utilisation peut-être un peu régulière de « hurla ».
« Célestia galopa à l’intérieur de la grotte, éclairant l’obscurité grâce à la lumière de sa corne. Suivant l’exemple de l’alicorne blanche, la noire s’élança à son tour, poursuivie par le vieil homme qui illuminait la route grâce à une boule de magie produite par son sceptre en bois. Luna et le sorcier se perdirent quelques secondes dans les galeries de roche en essayant de suivre l'écho du bruit des sabots de l’alicorne. Celle-ci avait complètement disparu, comme si l’obscurité de la grotte l’avait dévorée vivante.
Tentant de retrouver sa sœur, Luna avait décidé de s'arrêter à un croisement, écoutant attentivement et essayant de trouver le couloir que son aînée avait emprunté malgré l’écho ambiant qui faisait bourdonner ses oreilles. Finalement, l’alicorne et le vieux sorcier recommencèrent leurs recherches, en marchant cette fois. Luna était étonnée de voir à quel point cette grotte était immense et profonde. Elle n'en n’avait pas l’air vue de l’extérieur. Curieusement, l’alicorne noire avait tout simplement fini par suivre le vieil homme, se laissant tout simplement guider. Lui, au moins, semblait connaître le chemin que sa sœur avait emprunté. C’est ainsi, après au moins une bonne dizaine de minutes de marche à travers les galeries de la grotte, dans un silence le plus total, que les deux voyageurs arrivèrent dans une espèce de salle d’où s’échappait une étrange lumière rosée. »
En dehors des termes habituels, je trouve le mot « voyageurs » trop fort pour qualifier deux personnages marchant dans l’obscurité d’une grotte depuis quelques minutes. « Le maître et l’élève » ?
« Bien que méfiante, Luna décida de suivre encore un peu le vieil homme qui la guidait à l’intérieur de la salle. L’alicorne noire ne s’attendait pas à assister à un spectacle aussi magnifique. Elle leva la tête vers le plafond de la grotte. Celui-ci possédait une grande ouverture en forme de carré. La coupe était claire et régulière, à un point tel que l’on aurait pu supposer qu’elle avait été faite par un être vivant doté d’intelligence. L’alicorne noire était émerveillée par un tel spectacle, se demandant comment le plafond rocheux de la grotte pouvait encore tenir et ne pas s’écrouler avec une ouverture aussi gigantesque. De là où elle était, Luna pouvait voir le ciel étoilé et la lune qui trônait en son centre, irradiant de ses magnifiques rayons d’un délicat et reposant blanc laiteux. »
Je dirais, au choix « Ses rayons irradiant d’un délicat… » ou « irradiant un délicat… de ses rayons. »
Pour la suite du texte, je retrouve un peu trop de fois le terme « l’humanoïde » pour désigner ceux qui agissent dans et autour du cube.
« Luna se recula de surprise, le bâtonnet venait de s’agrandir, mesurant presque la moitié de la taille de la femme qui la tenait. »
Luna recula de surprise + qui le tenait. C’est le bâton qui est tenu par la femme.
« …c’était un trident composé d’un bâton argenté qui se terminait avec des lames torsadées d’un bleu très clair d’où rayonnait une douce lumière. Sans doute étaient-elles fabriquées dans un autre métal ou un autre matériau. »
Un autre matériau que quoi ? Que ce qui est connu que Equestria ? Ou peut-être simplement que celui dont est fait le corps de la femme, j'avais oublié que tu le précisais un peu avant.
« …de lui couper les cordes vocales, la privant du don de la parole. »
Là encore, il est inutile de préciser que si le choc lui a « coupé la voix », elle ne peut plus parler.
« Celle qui va redonner et recréer la vie à notre monde en perdition. »
Je dirais, au choix « Celle qui va recréer et redonner la vie à notre monde… » ou « Celle qui va recréer notre monde et lui redonner la vie. »
Et je crois que j’en ai terminé. Malgré ce que j’ai pu souligner, j’avoue être intéressé. On se demande tout d’abord dans quel but Star Swirl a bien pu convoquer les Sœurs loin de tout, puis à terme, ce que va bien pouvoir engendrer cette intrigue. Il semblerait, en tout cas, que Twilight soit encore, malgré elle, projetée au devant des problèmes. Je m’attèlerai à la suite, pour sûr.
"I didn't learn anything, hah ! I was right all along !"