Les jours passent, mais ne comblent pas ton absence,
qui grandit encore et toujours chaques jours,
Souvenirs de ta présence, qui donnait à ma vie un sens,
Je cris ton nom, mais il semblerait que tu sois sourd,
Je ne fait que pleurer en jouant pour toi,
Il semblerait que ce soit là tout ce que je peux faire,
Depuis que j'ai compris que tu ne sentiras plus jamais mes bras,
Se refermer autour de toi quand tu auras froid les nuits d'hiver,
Je continue de jouer pour toi malgré ton absence et la douleur,
Ces soupires ne sont que ton nom qu’inconsciemment je chuchote,
Ton prénom et ton sourire profondément écrient dans mon cœur,
Comment est-ce pu en arriver là ? Ais-je fait une fausse-note...
La mélodie qu'est ma vie tombe dans le son grave, tu étais mon paradis,
Et ton prénom est le nom de l'anthem de ma vie, mon anthem,
Je te cherche partout, mais il semblerait que tu sois déjà partit,
"Je t'aime", mais pour mon cœur il est l'heure du Requiem.
Je crie ton nom dans l'espoir que tu l'entendes, là où tu es,
Je prie pour ton bonheur malgré que toi tu fus le miens,
Ma symphonie pour ton amour pendant un millier d'année sera encore chanté,
Tu étais l'architecte de ma vie, tu étais tout, aujourd'hui je ne suis plus rien.
Je continue de pleurer pour toi, dans la douleur de l'absence,
Ces soupires ne sont que ton nom qu’inconsciemment je chuchote,
Tu étais les notes à la gamme de ma vie, la raison de ma présence,
Comment cela en a t-il pu en arriver là ? Suis-je une fausse-note...