[OS][sombre][triste] Repentir

Postez-ici vos fictions inspirées de My Little Pony: Friendship is Magic.
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Acylius
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[OS][sombre][triste] Repentir

Message par Acylius »

Très court texte inspiré d'un rêve que j'ai fait il y a deux nuits.
(Oui, je rêve de poneys. C'est grave, docteur?)
Les grands dirigeables s'éloignaient vers le Nord. Les lourds aéronefs se dirigeait droit vers Canterlot. Déjà, les premières détonations retentissaient dans le lointain.

Le bataillon entrait dans Poneyville. La bourgade, située en plein sur le chemin de la flotte, n'était plus qu'un tas de ruines. Les bombes larguées depuis les dirigeables l'avaient presque entièrement détruite.

Le soldat traversait la prairie. Le gros des troupes sécurisait ce qui restait du centre ville pendant que le reste inspectait les fermes et les maisons aux alentours. Il s'avança vers les ruines d'une petite maison bâtie au bord d'un ruisseau. Une bombe avait éclaté à quelques mètres de là, soufflant la moitié de l'habitation. Le soldat regarda à l'intérieur. Aucun signe de vie. Ceux qui vivaient là avaient fui ou avaient été tués par la déflagration.

Il se mit en route vers la maison voisine, à quelques centaines de mètres de là. Il sentit soudain quelque chose de poisseux et collant sous son sabot. Il baissa la tête. Il venait de marcher dans une flaque de sang. D'autres traces rouges maculaient le sol, un peu plus loin. Quelque chose ou quelqu'un était passé par ici.

Le soldat suivit la piste ensanglantée. Les traces contournaient la maison jusque dans le jardin. Il regarda autour de lui. Rien ne bougeait. Alors qu'il s'apprêtait à rebrousser chemin, quelque chose attira son regard. C'était un plume jaune, à terre, près du bosquet voisin. D'autres plumes, certaines maculées de sang, jonchaient le sol un peu plus loin.

Le soldat s'avança vers les fourrés. Une forme bougea dans les buissons en face de lui. Il leva son arme et s'approcha. Quelque chose était couché entre deux buissons, à quelques mètres de là. Il s'approcha lentement et, avec le bout de son arme, il écarta les branches.

C'était un pégase à la robe jaune et à la crinière rose pâle. Il était couché sur le côté, la tête posée au sol. Une plaie béante lui ouvrait le flanc. L'aile du côté blessé était à moité arrachée. Les os et les entrailles étaient à nu et la blessure saignait abondamment. Le soldat se rapprocha encore un peu. le poney respirait faiblement.

C'était certainement le poney qui vivait dans la maison. Il avait dû être frappé par un éclat lors de l'explosion et avait réussi à se traîner jusque là. Le soldat se pencha. C'était un combattant endurci. Il avait participé à plusieurs autres guerres, certaines parmi les plus sanglantes de l'histoire moderne. Il avait vu des frères d'armes tomber à ses côtés et des ennemis agoniser devant lui. Il n'avait plus d'états d'âme depuis longtemps. Aujourd'hui, ses instructions étaient claires. Sécuriser, nettoyer, neutraliser. Chacun savait parfaitement ce que cela signifiait.

Le poney ouvrit alors les yeux et son regard croisa celui du soldat. Un regard d'effroi, d'incompréhension et de douleur. Les deux se contemplèrent pendant de longues secondes, en silence. Le soldat posa à nouveau les yeux sur les blessures du poney couché devant lui. Le pégase n'en avait plus pour longtemps, inutile de s’attarder ici. Il se redressa, fit demi-tour et repartit. Alors qu'il s'éloignait, une voix faible, à peine plus forte qu'un souffle, s'éleva derrière lui.

- Attendez...

Il se retourna. Le poney le regardait toujours. Le soldat revint sur ses pas, posa son arme au sol et s’accroupit. Il n'était pas quelqu'un quelqu'un qu'un regard larmoyant pouvait attendrir. Il avait appris à accepter la souffrance, que ce soit la sienne ou celle des autres. Il fixa le pégase, impassible.

- Restez, s'il-vous-plait. Je ne veux pas être seule...

La voix était à la fois douce et suppliante. Le flanc ensanglanté du poney se soulevait avec douleur à chacune de ses respirations. Il regardait toujours le soldat dans les yeux. On voyait dans son regard qu'il savait qu'il ne s'en sortirait pas. Lentement, le pégase avança son sabot vers celui du soldat.

- Restez avec moi...

La voix du poney était un mélange de douceur et de désespoir. Le soldat lui prit le sabot.

- J'aimerais... J'aimerais entendre une dernière chanson. S'il-vous-plait...

La dernière demande d'un mourant est quelque chose qui ne se refuse pas. Le soldat réfléchit. Lentement, il plongea dans ses souvenirs. Il y a longtemps, quand il était petit, sa mère chantait pour lui. Des chansons étranges et envoûtantes, entonnées à voix basse dans la pénombre. Des mélodies et des paroles dont il ne lui restait que des échos. Petit à petit, la douce voix de sa mère refit surface. Un air qu'il pensait avoir oublié depuis longtemps revint.

J'ai quitté ma maison
Pour aller au bout du monde.
J'ai parcouru la Terre
Pour voir si elle était ronde.

Dans mon dos le soleil se lève,
Mon pays est là bas au loin.
Devant moi le chemin s'achève,
Ma route prend fin, je n'ai plus rien.

Il n'y a plus un son.
Je me retourne et je vois
Mes pas dans la poussière
Qui me reconduisent chez moi.


Alors qu'il chantait à voix basse, le pégase ferma les yeux avec apaisement. Sa respiration ralentit. Bientôt, son flanc cessa de se soulever.

Le soldat ramassa son arme et se releva. Il sortit du jardin et repassa devant la maison. Dans son dos, vers la ville, des bruits de tir éclatèrent. Il ne se retourna pas. Il prit la direction des montagnes, loin à l'horizon. Il rentrait chez lui.
Dernière modification par Acylius le 20 déc. 2013, 18:40, modifié 6 fois.
S

Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par S »

Joli texte, bien que très court, on ressent pas mal de choses en le lisant :pense:
Sincèrement si tu pouvais nous écrire un tel OS chaque fois que tu rêves de poney, ce serait magnifique (bien que triste) :)
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Cocolicoco
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Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par Cocolicoco »

C'est simple, c'est beau et c'est tragique.
Franchement, du bon boulot, très bien écrit. J'aime ton style, mec !
Ma trad rien qu'à moi : Allez, salut, et merci pour tous les poneys !
Ma fic adorée : Flutter Island

Et n'oubliez pas, y'a rien de plus abruti qu'un panda.
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Vuld Edone
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Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par Vuld Edone »

'Kay. :twibad:

Alycius, c'est de la mauvaise volonté de ma part -- et pas mal d'agacement aussi -- mais je peux te demander un service ? Est-ce que tu accepterais de commenter ton propre texte ?
Notamment :
Il leva son arme et s'approcha.
Il regarda autour de lui. Rien ne bougeait. Alors qu'il s'apprêtait à rebrousser chemin, quelque chose attira son regard.
Qui sont pour moi représentatifs.

À défaut, et en l'état, je dirai juste diplomatiquement que pour les buts qu'il s'était fixé, le texte remplit son contrat. Mais j'aimerais really, really, really really really t'entendre sur le sujet.
"En écriture, il y a deux crimes : le texte inachevé et le texte sans commentaires." - Les Chroniques

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Toropicana
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Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par Toropicana »

(Allez Toro, retient-toi ! dit pas que des guerres equestriennes y'en a à la louche)


Sympa, on a l'ambiance, une guerre bien brute. J'aurais pas dit non pour des détailles en plus (quelques cratères et deux/trois maison bien définissable du show détruite histoire de marquer le coup).
Bon, après pour le reste j'ai rien à dire, on sent que malgré l'horreur, une étincelle de FiM reste encore dans les aires.

J'ai pas compris où voulait en venir Vuld par contre :tmeh:
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Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par Sangohan38 »

J'ai pas aimé à cause de la forme du texte.
Cette structure en phrase courtes commençant quasiment systématiquement par "il" et "le soldat" (apparaissant respectivement 23 et 11 fois) ne me donne pas envie de lire. On dirait que tu n'as pas de vocabulaire.
Ensuite, il y a le cas de Fluttershy où on ne sais pas trop si c'est un mâle ou une femelle car il est décrit à chaque fois comme un mâle (le poney, le pégase, il) mais s'exprime au féminin ("Je ne veux pas être seule").
Enfin, j'ai pas trouvé la poésie très intéressante car je n'ai pas trouvé de progression dans le texte. Grosso modo c'est: je suis parti, je marche.
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Acylius
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Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par Acylius »

Je sais bien qu'il y en a à la louche, ce n'est pas ça que je voulais raconter.

Désolé Vuld, mais je ne vois pas où tu veux en venir.
Et puis, ça ne se fait pas de commenter son propre texte...
Dernière modification par Acylius le 31 déc. 2013, 02:45, modifié 2 fois.
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Vuld Edone
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Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par Vuld Edone »

Acylius a écrit :Et puis, ça ne se fait pas de commenter son propre texte...
Euh si, ça s'est fait durant les Lunatiques et c'était sympa' -- et drôle.

Voilà où je veux en venir : t'as bâclé.

Déjà il faut savoir que j'ai hurlé comme un beau diable sur les aberrations doctrinaires.
Tu n'envoies pas six mille poneys (le régiment entier) contre un village. T'as concentré tes troupes sur un mouchoir de poches, c'est suicidaire, et bordel c'est juste un village, t'as pas besoin de six mille poneys pour le sécuriser. Une compagnie, deux max', et même aujourd'hui on enverrait juste une section. Trente poneys contre six mille...
Mais qu'il y en ait trente ou six mille, l'autre aberration est de voir un soldat se promener seul. Armée française, l'unité minimale c'est le binôme. Armée américaine, c'est la "team" de quatre. Un soldat seul ne peut pas se battre, Punkt Schluss. Là il sécurise un village, il fait partie d'une unité, il n'a aucune excuse pour être seul. Et je ne parle pas de la désertion à la fin, je lui souhaite bonne chance...
Mais ça on s'en fout. Tu ne pouvais pas forcément le savoir et la plupart de tes lecteurs s'en tapent autant que pour les dirigeables.

Ce qui n'empêche pas le fond d'être flemmard.
Les traces contournaient la maison jusque dans le jardin. Il regarda autour de lui. Rien ne bougeait. Alors qu'il s'apprêtait à rebrousser chemin, quelque chose attira son regard.
Le soldat suit des traces de sang. Arrive dans le jardin. Regarde. Ne voit rien. S'apprête à repartir. Voit des plumes.
1. Pourquoi il s'apprête à repartir ? Le texte le dit noir sur blanc, sa mission c'est de nettoyer et sécuriser. Bordel. Ce soldat ne fait pas son boulot.
2. Où sont passées les traces de sang ? Elles ont disparu comme par magie ?
3. Pourquoi il n'a pas vu les plumes dès le départ ? C'est pas comme si elles étaient cachées, elles "jonchaient le sol"...
4. POURQUOI IL EST SEUL BORDEL ?!
En oubliant (4) qui est juste mon râlage personnel, la mise en scène est bâclée. Ton but était de maintenir la tension, le suspense, et tant que la tension est là le lecteur s'en bat l'aile des incohérences. Moi-même, en première lecture, tout ce que je me suis dit c'est "woah, 'alors que... quelque chose...' c'est super-flemmard comme technique". Pour peu que tu creuses, il n'y a rien derrière.
En gros t'en avais rien à foutre du fond, des événements, de l'histoire. Toi tu voulais ton baroudeur insensible qui s'apitoie sur la Flutty', point barre. T'as expédié tout le reste et ce n'est pas une mauvaise chose -- encore une fois, ranabattre de l'invasion de Canterlot -- mais ça reste de la facilité.

La forme aussi tombe dans la facilité.
Sans répéter ce qui a été dit sur "il / soldat", je dois par contre insister sur les quelques détails :
Il leva son arme et s'approcha.
"... à pas lents." La formule habituelle c'est "il s'avança à pas lents" ou "pas à pas", mimant la progression effective du soldat pour maintenir l'arme stable. Et puis "lever", "arme", "approcher", ce sont des termes basiques. Et à ce titre :
Les grands dirigeables s'éloignaient vers le Nord. Les lourds aéronefs se dirigeait droit vers Canterlot.
"Aéronefs" ? Tu n'as pas un terme plus générique que ça ? Machines ? Engins ? Objets ?
D'autant que les quatre première phrases ont quasiment la même structure, et j'étais parti sur toute analyse à propos du style "rouleau-compresseur" provoqué par la répétition... et brisé, piétiné dès la cinquième phrase... Mais enfin "les [adj][nom] [verbe-mouvement] vers [nom-lieu]", les deux premières phrases ont vraiment la même structure. Tu pouvais ne mettre que l'information nouvelle :
"Les grands dirigeables s'éloignaient vers le Nord. Vers Canterlot."
Tu pouvais faire une métonymie (partie pour le tout) :
"Les grands dirigeables s'éloignaient vers le Nord. Leurs lourdes ombres progressaient en direction de Canterlot."
Moi j'aurais fait :
"Les masses noires des dirigeables couvraient le ciel du soir et, lourds et lents, aux lueurs combinées du jour et des flammes, ils se resserraient sur Canterlot."

Tu SAIS le faire ! Tu maîtrises, tu as l'habitude d'écrire alors pourquoi tu ne le fais pas ? On dirait que tu as brossé ce texte, expédié la moitié pour arriver à la partie qui t'intéressait. Tu as posé le décor en hâte question d'avoir ta confrontation Flutty' et point barre.
C'est d'autant plus hurlant que durant toute cette confrontation, le reste du monde cesse d'exister. Même le buisson disparaît dans les limbes. Plus le moindre brin d'herbe, c'est juste la tête de pégase et celle du soldat inconnu.
Il sentit soudain quelque chose de poisseux et collant sous son sabot.
C'est un soldat vétéran de plusieurs campagnes, il a déjà pataugé dans le sang jusqu'au genou, punaise, il a vraiment besoin de baisser la tête pour comprendre ? "Ses sabots foulèrent le sang." Pas compliqué.
Quelque chose ou quelqu'un était passé par ici.
Oui, des dirigeables ! Et visiblement tout le stock de bombes de la Lunar Republic, for her sake ! Tu t'attendais à quoi, de la neige ? C'est un contexte de guerre ou une enquête de Phoenix Wright ?
Il se mit en route vers la maison voisine, à quelques centaines de mètres de là.
"Voisine" et "quelques centaines de mètres" ? Pourquoi ne pas juste dire que la maison est à l'écart du village et alors "il se mit en route vers le village même..." et pourquoi préciser la distance, "... en amont de la rivière".
Le soldat regarda à l'intérieur. Aucun signe de vie.
C'était l'occasion parfaite pour donner un détail de la dévastation.
"Le soldat regarda à l'intérieur. Pas de vie. Pas de corps parmi les cendres et les poutres noires."
Ou peu importe, mais juste un détail pour donner vie à la scène... Par exemple des rideaux qui brûleraient encore, des bris de porcelaine sous la table éventrée... le soldat "regarde", on aimerait bien voir quelque chose.
(Et oui, je pars du principe que les bombes étaient incendiaires...)

Tu l'as peut-être remarqué, mes remarques s'arrêtent à la moitié du texte. À partir du moment où la rencontre a lieu, ton style remplit enfin sa fonction. Froideur de la forme -- phrases courtes, structures simples et sobres -- peu à peu contrastées par les sentiments -- "longues secondes", "attendrir", "douce"... -- ça reste basique et perso' j'y vois un brainwash mais je ne parlerais pas de facilité pour autant. La forme est adaptée au fond, les effets sont intéressants.
Le flanc ensanglanté du poney se soulevait avec douleur à chacune de ses respirations.
Voilà, ça, pourquoi ça n'était pas là pendant toute la première moitié du texte ?
Oui, ici ça vise au côté sentimental, à attendrir, et ça n'a pas sa place dans la première partie. Mais la première partie est censé renforcer la froideur, la cruauté, le côté insensible. Et ça aussi, ce doit être mis en scène. Le soldat a une "situation awareness", lorsqu'il scrute le jardin il aurait pu y avoir une phrase donnant sa vision des choses : ennemis, menace, sentiment soudain de vulnérabilité face à l'inconnu...
Je ne sais pas moi :
"Les enclos bas, les barrières, les buissons, tout avait été arraché, labouré par l'explosion."
Juste ça, punaise, juste ça.

La première moitié du texte est bâclée, et si j'étais méchant je trouverais la seconde partie expéditive aussi -- mais ça c'est juste moi qui râle sur les brainwash. Je ne demande pas de connaître chaque boulon de tes Kirov, mais si tu poses le décor fais-le bien.
Et ça m'agace parce que c'est toi, je sais que tu peux le faire sans peine.
"En écriture, il y a deux crimes : le texte inachevé et le texte sans commentaires." - Les Chroniques

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Re: [OS][sombre][triste] Repentir

Message par Acylius »

Je suis d'accord avec la plus grande partie de ce que tu dis, j'en tiendrai compte par la suite et je te remercie du temps que tu consacres à mes textes. Cependant, je serais bien incapable de mener moi-même une analyse aussi approfondie sur mes propres textes. Et je pense que, si je le pouvais, je perdrais tout plaisir à écrire.
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